Les participants à la Tournée 2012 :
Chef tyrannique et hautbois :
Hautbois / Hautbois d'amour / Cor Anglais / Hautbois Baryton : C’est en 2004 qu’Odile (CLEMENT) fait ses premiers pas dans la Bande. Puis durant 4 années elle apprend à courir vers des aventures musicales extraordinaires et des amitiés très fortes. Elle atteint l’âge de raison avec l’organisation de la tournée auvergnate « Hautbois en éruption » en Août 2009. Et maintenant, elle prend le rythme de croisière en rejoignant la bande pour cette tournée en Ardèche et Drôme. Presque tous les membres de sa famille ont eu le plaisir de rejoindre la bande pour l’une ou l’autre aventure. Agnès GAULT Je suis entrée dans la bande grâce à Andrée en septembre 2010 (merci Andrée!), rencontrée à l'orchestre de l'ODMT (Orchestre De Ma Tante). J'ai eu avec mon hautbois une période tango (je faisais partie d'un atelier tango au conservatoire de Gennevilliers) puis je suis entrée dans le monde du travail et lui s'est reposé. Je (ré)apprends à souffler avec la bande.... et je souffle, je souffle! J'ai l'honneur de participer à ma première tournée cette année (Drôme/Ardèche), il va me falloir écouter, jouer, manger, dormir et rire (?) en rythme avec le groupe, sacré challenge pour moi! Isabelle LE SAOUT BAUDOIN Il y a bien longtemps, je débutais le hautbois avec Claude Villevieille (et oui le chef tyrannique !). Tout naturellement, je fis donc partie de la BDH dès sa création (d'où le surnom de "mamie" que me donnent désormais certains jeunes de la bande). A cette époque je détestais le chocolat et, bien des années plus tard, c'est fou ce que le temps passe vite, j'ai appris à apprécier le chocolat (noir uniquement!) et je fais toujours partie de l'aventure BDH qui cette année nous emmènera en Alsace (ça tombe bien, j'adore la choucroute !) Oui, bon d’accord, au premier abord, on ne dirait pas que Leïla (GALEB) est hautboïste. Et pourtant, c’est l’instrument avec lequel elle a commencé la musique dans les années 90 à Evreux (dans l’Eure, en Normandie). A 18 ans, elle quitta sa province bien décidée à empoigner la vie et partit à Rouen faire des études de musicologie tout en continuant ses études hautboïstiques bien sûr !
Licence en poche, Leïla décida d’élargir son apprentissage musical. Elle commença par s’inscrire en classe de chant, intégrer le Chœur de Chambre de Rouen, passer son DEM de Formation Musicale, puis celui de hautbois, puis celui de chant. Elle s’intéressa au jazz, à l’écriture, au hautbois baroque et à la direction de chœur. Elle se passionna pour les films Bollywood et écrivit un spectacle qui s’en inspirait et dont elle composa les musiques. Décidée à transmettre son goût de la musique aux autres, Leïla enseigne aujourd’hui la Formation Musicale au CRD de Grand-Couronne. Elle dirige deux ensembles vocaux et fait partie du chœur de l’Opéra de Rouen. Elle a créé avec son amie pianiste Elise un duo « Les Frisettes » qui interprète aussi bien des mélodies françaises et des airs d’opéra que les chansons d’Yvette Giraud et d’André Claveau. Elle n’abandonne pas son hautbois et revient volontiers jouer avec la Bande dès que l’occasion se présente. Avant 2004, Arnaud Barre vivait en Aveyron, avait des cheveux, mangeait de l’aligot saucisse, jouait du bugle à la Diane Rouergate et était surveillant au Lycée Foch de Rodez.
Après 2004, Il a perdu ses cheveux, s’est mis à manger de la ficelle picarde et s’installe à Beauvais. Il a aussi débuté le hautbois, intégré la bande des hautbois pour la tournée de Perpignan en 2005, et est devenu professeur d’éducation musicale en collège.
Il étudie cet instrument au conservatoire de Levallois Perret avec Guillaume Cuiller.
Il joue également dans l’orchestre brassage cinéma spécialisé dans le ciné concert.
Au niveau professionnel, il développe des projets de Chorale, groupe de rock et pratique de musiques actuelles amplifiées, pratique et découverte du violoncelle avec l’octuor des violoncelles de Beauvais.
D’après certaines rumeurs, on affirme qu’il serait l’enfant sauvage de l’Aveyron. Il nous est impossible de confirmer ou d’infirmer ces différentes supputations. Ce qui est sur, c’est qu’il aime toujours l’aligot.
Basson / Contre-Basson :
Pierre-Alain BEGOU
une journée en début de tournée c'est :
"lever matinal, petit déjeuner copieux, course des lève-tard, séance de travail, déjeuner savoureux, courte sieste du chef tyrannique, séance de travail, dîner énergétique, séance de travail, dodo et Da Capo. Séance de travail se décline en général avec l'instrument, mais peut être aussi collage/pliage/découpage programmes ou bien encore assemblage des partitions. Et parfois un coup de main à notre soutien logistique et culinaire piloté par Bob"
une journée en milieu de tournée devient :
"lever matinal, petit déjeuner copieux, course des lève-tard, séance de travail en réprimant l'envie de farniente lors des mesures à compter, déjeuner savoureux, sieste du chef tyrannique et des musiciens pour récupérer, séance de travail pour remettre en état une tenue de concert, empaqueter matériel et musiciens dans les voitures, conduire les voitures en écoutant le GPS qui cherche à trouver cette si jolie église bien cachée dans la campagne, dépaquetage et mise en place du matériel même s'il n'y a pas la place, raccord musical, embryon de casse-croûte, habillage en tenue de toréador, concert avec tonus et sourires, discussions amicales avec public et organisateur, rempaquetage du matériel et des musiciens dans les voitures, re-conduite des voitures, dépaquetage du matériel dans la salle de travail, dîner gastronomique bien-venu et digne des meilleurs hôtels, séance de pliage de programmes ou repassage ou lavage ou recopie de partitions, dodo et Da Capo Subito e Attacca."
en fin de tournée?
C'est à peu près la même chose, avec toute la musique que nous voulons jouer, les séances de travail restent indispensables! Bon, un peu de temps gagné sur les empaquetages/dépaquetages/rempaquetages grace à l'entraînement, vite réemployé à prolonger les dégustations diverses et variées.
Un avantage : malgré les efforts Gargantuesques de Bob, difficile de grossir à ce rythme ;-))
Victor DUTOT. J'ai 20 ans et j'ai commencé le basson à l'âge de sept ans (on a de ces idées quand on est petit...!!!) avec René Sicart à Bailly, petit patelin des Yvelines.
Ce fut à l'âge de quinze ans que je décidai de me lancer dans la "carrière" et d'intégrer donc la classe d'Alexandre Ouzounoff au Conservatoire de Versailles. Dans ces années-là, je suis tombé sur la bande de hautbois vu que mon nouveau professeur est excellent collègue et ami du chef qui se tape Ann... euh du chef tyrannique! J'ai dû retourner bien malgré moi, embrigadé de force, les années suivantes dans ce véritable asile de fous du hautbois!!!! 5 ans plus tard je tente le concours d'entrée au CNSM de Paris dans la classe de Gilbert Audin et le réussis (à l'unanimité héhé!). Et pour finir l'année j'ai passé mon prix de basson du CRR de Versailles (mais sans l'unanimité....héhé.....). Sinon dans la vie j'aime les princes (entendez par là que j'aime les GÂTEAUX Prince et non les princes au sens "princier" du terme, pour ma part je préfère les princesses comme la Galeb), le saucisson également, me balader en chaussettes dans toute la maison et même dehors, rigoler avec le "reste" ( = pupitre de bassons), faire des ornementations que le chef n'a pas demandées (hihi!), mais par dessus tout embêter Arnaud Barre et Mylène Cave !!! Odelin LE SAOUT BAUDOIN Bon alors c'est moi le jeunot, le benjamin, le débutant, le bleu... Le petit nouveau quoi ! Enfin presque... parce que c'est vrai que même avant ma naissance, je suivais déjà la Bande des Hautbois : ma "moman" y est hautboïste depuis le début (enfin, ça on me l'a raconté !). Mais après être né, je ne pouvais plus "squatter" la scène ! J'ai donc, dès que j'ai pu, commencé le basson. Et maintenant, après ma première tournée en Alsace (2011), je suis prêt à recommencer !!! Percussions :
Michèle LORIN-GADET. Plongée dans l'univers de la BDH grâce à Aline, sa fille (absente pour cette tournée), et plus généralement dans la musique depuis toute petite, Michèle est au départ une simple anchiste (saxo) à l'Harmonie de Nemours et percussioniste à la Symphonie (de Nemours).
C'est dans ce 2eme emploi que le Chef tyrannique lui proposa un pupitre à la BDH. Ravie elle accepte avec enthousiasme. C'est également une mère pour le groupe, s'acquittant avec conscience et bonne humeur des tâches oh combien nècessaires comme l'entretien des fringues de toutes sortes (couture, lavage, repassage). Ses musiciens favoris: Xenakis, Stockhausen (c'est une blague) Régie / Intendance / Photos / Cuisine etc ...
Robert GADET. Plongé dans l'univers de la BDH grace à Aline, sa fille (absente pour cette tournée), Robert s'active depuis de nombreuse tournées devant le piano (4 feux), préparant, suivant l'actualité du moment, casse croûte, sauces et ripailles.
Supportant mal la critique gastronomique (mais quelle critique?), sa principale mission est de calmer les crampes d'estomacs des musiciens et du chef (tyrannique) avant et après répétitions et concerts. A déja gouté au plaisir de la scène au cours d'une tournée auvergnate en "jouant" du chapeau chinois sur une idée du chef tyrannique. Ses musiciens favoris: beaucoup, mais surtout Mozart (c'est banal) et Rossini (c'est festif) |